La réponse urbaine et architecturale qui émerge d’un travail d’échanges et de réflexions doit traverser touts les étapes qui conduisent à sa réalisation sans être affectée par les pressions techniques, politiques, économiques...
Au contraire, nous tentons d’intégrer ces différentes contraintes pour renforcer et clarifier les choix fondateurs du projet. Plus tard le projet est édifié et devient bâtiment, espace urbain ou ouvrage.
La ville dure, l’architecture est au service des usagers, du public, et de ses habitants. La conscience de notre responsabilité dans l’acte de bâtir nous interdit de travailler pour un enjeu personnel. Nous sommes des artisans de la globabilité, des généralistes et surtout pas des spécialistes.
A ce titre nous revendiquons le rôle, l'obligation, pour chaque architecte de travailler... le vide et le plein, d'appréhender l'espace dans sa globalité : territoire, région, agglomération, ville... habitat.
Un Bâtiment, c'est un site, ce site est paysage, ce paysage est une mémoire collective, un espace partagé, fait de liens, de repères, de sociabilité. Il renvoie à la notion d'usage(s), d'appropriation.
Cet espace public peut être fondateur. Il intéresse l'architecte et l'architecture.
Alors notre atelier d'architectes développe, conçoit et dessine des projets d'aménagement de quartiers, d'espaces publics et de bâtiments, parce que ces programmes-là, ces échelles-là sont l'essence même de notre métier.